"J’ai pas envie d’apporter ma culture urbaine dans le conte. Cette culture-là, elle m’a apporté des choses entre 14 et 17 ans mais j’en ai 29 maintenant. Des histoires drolatiques urbaines, argotiques, j’en raconte quand je fais la fête, ça va très bien dans ce contexte-là, mais c’est pas ça que je veux donner aux gens. Faire la grande gueule, la déconnante, c’est mon arme pour me faire accepter, mais dans le conte, c’est mon intimité qui est en jeu, c’est pas une façade."
(Extrait d'un entretien recueilli par Mandragore et Alice Duffaud pour le journal Particule de juin 2001.)
Maëlle Sopena, "conteuse amateure et punk amateure", 29 Mai 2001.